Avril 2021 / L’interview du mois : Olivier Rocquin – Amigraf

Rencontre avec Olivier Rocquin, directeur d’Amigraf, organisme du secteur de l’imprimerie qui forme aux métiers du digital, du print et à la communication, en région Lilloise.

Pourquoi la formation ?
Ce qui m’anime depuis 25 ans, c’est la pédagogie et la satisfaction client ! Je me lève chaque jour en me disant que c’est un peu grâce à nous qu’ils réussissent leur examen et qu’ils trouvent un job.

Pourquoi adhérer au Synofdes ?
Je crois que j’adhérais depuis longtemps aux valeurs de l’ESS, avant même de savoir ce c’était. Ce qui compte pour moi, c’est le partage avec les autres, le respect d’autrui et l’honnêteté avec les stagiaires, les parties prenantes, les prescripteurs.
Le Synofdes selon moi représente ses valeurs là. Le cycle de webinaires transfo digitale qu’il vient de lancer en témoigne, il permet de mettre du lien et du liant entre nous tous.

Quelles sont vos attentes ?
Mes besoins correspondent à ce que je ne suis pas capable de faire car je suis dirigeant d’une petite structure (10 ETP), je n’ai pas le temps : de l’appui RH, un retour pré-digéré sur les actualités, et enfin, du partage d’expertises et de la mise en relation avec des partenaires qualifiés.
J’apprécie la réactivité des services juridiques, les communiqués qui m’offrent une information claire et synthétique et surtout, les conseils d’application avec impacts et risques associés. J’ai été très satisfait de l’auditeur partenaire du Synofdes.
Selon moi, plus on sera d’adhérents, plus on gagnera en diversité, plus on montera en compétences. On doit tous donner de notre temps….

La transformation digitale pour vous ?
On est plutôt bien parti sur la digitalisation de notre offre, on a un studio de tournage animé par des formateurs experts. Mais on ne l’exploite pas suffisamment et on valorise peu ce qu’on a produit.
Mon prochain chantier, c’est la digitalisation de nos outils. On a encore beaucoup à apprendre

Pour aller plus loin ?
Ce que je souhaite le plus, c’est de pouvoir accompagner tout individu qui se présente chez nous, et si je ne suis pas en capacité de le faire moi-même, de pouvoir le mettre en relation avec un partenaire du territoire.